L'apparition de la maladie dépend de la quantité d'alcool consommée et la durée, en qu'il est consommé. Plus la durée et plus le montant conduit à plus de chance pour la maladie du foie de se produire.
Les autres facteurs comprennent la toxicité de l'éthanol au foie, la sensibilité à la maladie et des facteurs génétiques. Des études ont montré que les femmes peuvent être plus vulnérables que les hommes. La maladie commence comme une inflammation (hépatite) et progresse de foie gras et la cirrhose. L'alcoolisme conduit généralement à trois pathologiquement différentes maladies du foie. Ils sont la stéatose hépatique (stéatose), l'hépatite et la cirrhose.
La maladie n'affichera pas de symptômes jusqu'à ce qu'il avance. Les complications qui se posent sont encéphalopathie alcoolique et hypertension portale.
Les symptômes comprennent la perte d'appétit, des nausées, ictère, douleurs abdominales, fièvre, ascite, gain de poids, confusion mentale, soif excessive, sécheresse de la bouche et la fatigue.
Autres symptômes sont vomissements de sang, selles sanglantes, pâleur, évanouissement, mouvement léthargique, humeur fluctuante, jugement et confusion.
Tests de fonction hépatique et une biopsie du foie sont les tests communs faites pour détecter la maladie. Le traitement comprend l'interruption de l'utilisation alcoolique, fournissant hypercalorique, diète de glucides élevé pour décomposer la protéine présente dans le corps du patient. Services de conseils et de réadaptation peuvent s'avérer nécessaires pour les patients.
Les transplantations hépatiques devient nécessaires si la situation avance à une cirrhose. Une fois que le patient devient médicalement stable, il est nécessaire de s'abstenir de boire. Bien qu'arrêter de boire peut entraîner l'annulation de foie gras et de l'hépatite, foie cirrhose peut se poursuivre, mais une détérioration progressive du foie peut être vérifiée.
